Projet de traduction : 5 éléments pour qu’il soit réussi

Mains tapant à toute vitesse sur un clavier d'ordinateur portable

Vous avez un besoin de traduction. Vous avez donc tout naturellement décidé de vous tourner vers votre prestataire favori (WORDSINVEST 🤫😉). Mais, avant de lancer cette machine bien huilée qui vous retournera un résultat presque parfait, vous vous demandez quelque chose. Que puis-je faire pour rendre le processus encore plus fluide, et pour obtenir une qualité encore meilleure ? Voici donc la checklist NewsInvest : 5 éléments à garder en tête pour le bon déroulement d’un projet de traduction.

1. Document à traduire

Vous savez bien qu’il faudra nous envoyer le document si vous voulez sa traduction. Mais, au-delà du document lui-même, tout un tas de petites questions peuvent se poser :

  • Le document doit-il être traduit intégralement ?
  • Cela inclut-il les éventuels mentions légales et disclaimers, dont vous avez peut-être déjà une version traduite ?
  • Que faire des commentaires ?
  • Et des images, graphiques, URL, etc. ?
  • Avez-vous une remarque à transmettre ou un impératif de délai ?

Si vous pouvez intégrer ces éléments dans votre premier email, vos instructions seront plus précises et votre prestataire pourra mieux vous répondre et plus rapidement.

2. Formats

La question du format peut vraiment faire perdre un temps précieux lors des projets de traduction. Si vous savez qu’un document devra être traduit, il faut donc s’assurer qu’il est éditable, ou alors prendre ensuite le temps de la mise en page. Si vous le pouvez, procurez-vous une version du document dans un format modifiable. En effet, même s’il existe des convertisseurs de fichier, les résultats obtenus peuvent être décevants. Si vous faites traduire une présentation visuellement élaborée, il se peut que la conversion du PDF soit différente, voire inexploitable. Le temps pris à récupérer la « bonne » version auprès des personnes concernées n’est donc pas du temps perdu.

Mais une grande partie des traductions ne contiennent pas que des paragraphes. Elles peuvent aussi contenir des images, bannières, graphiques, tableaux… Tous ces éléments sont susceptibles d’être localisés. Il faut donc généralement transmettre au traducteur une version éditable, ou vérifier par exemple que les graphiques sont bien associés à une feuille de calcul. Autant d’éléments auxquels on ne pense pas, mais qui peuvent faire perdre du temps par la suite.

3. Références

Chaque organisation a son jargon, son image de marque, ses préférences. Que ce soit pour la terminologie, ou pour le style, le traducteur a besoin d’informations pour savoir ce qui vous plaît. Pour gagner du temps de ce côté-là, rien de mieux que d’avoir des exemples. Si vous pouvez lui fournir d’anciens documents et leur traduction validée par vos soins, c’est l’idéal. Encore plus, s’il s’agit de traduire une nouvelle version : il pourra l’intégrer à sa mémoire de traduction et rédiger dans votre style, tout en gagnant du temps. N’hésitez donc pas à donner des exemples de ce qui vous convient.

4. Glossaires

Dans la même veine, si vous disposez d’un guide de style ou d’un glossaire, pensez à le communiquer à votre prestataire. Il pourra en prendre connaissance et choisir non seulement le bon terme, mais surtout le bon terme pour vous et ce projet de traduction. En effet, une bonne traduction, c’est surtout une traduction utile, qui remplit sa fonction auprès de son destinataire. Même si votre glossaire n’est pas bilingue, il pourra toujours être utile comme référence. S’il est bilingue, c’est parfait. D’autant qu’il est souvent possible de transformer les glossaires en bases terminologiques que l’on peut intégrer aux outils de TAO (traduction assistée par ordinateur). C’est tout bénef’ ! 😉

4. Feedback

Enfin, une fois que votre traducteur préféré vous aura envoyé son chef-d’œuvre, vous recevrez peut-être un courriel vous demandant des nouvelles. Peut-être s’inquiète-t-il de savoir ce que devient son bébé, anxieux qu’il est de le savoir entre de bonnes mains. Ou alors (plus probablement), il aimerait peut-être savoir si son travail convient à vos exigences et si vous y avez apporté des modifications. Si vous avez effectué des changements, le prévenir lui permettra d’intégrer vos préférences à l’avenir. Sinon, il saura que son travail vous convient et, d’une part, il sera en joie, d’autre part, il saura qu’il est sur la bonne voie. Ainsi, prendre quelques minutes pour lui donner votre retour ou pour demander celui de vos collègues vous épargnera du temps de correction à l’avenir.

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Voilà donc les cinq choses que vous pouvez faire pour votre prestataire de traduction. Si vous faites tout cela, ou que vous êtes disponible pour répondre à ses questions, nous vous assurons qu’il vous le rendra bien. En attendant, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou pour démarrer votre propre projet de traduction. Nous sommes à votre disposition ! 🫡

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